La brique la plus populaire au monde vient de lancer un concours pour recruter des concierges âgés de 8 à 12 ans pour son hôtel Legoland Windsor Resort Hotel qui ouvrira en mars 2012… Oui oui vous avez bien lu… entre 8 et 12 ans…

 Pour Lego, le recrutement, sous forme de concours lancé aux petits Anglais âgés de 8 à 12 ans, serait «le» job de vacances idéales…

 Les candidats au «best job in the world» doivent être premièrement fans de Lego, deuxièmement aimer les parcs d’attractions et enfin être éveillés pour répondre à des situations imprévues…

 Les mini Spirou une fois sélectionnés, auront pour mission d’accompagner et d’aider les enfants-clients pendant leur séjour à l’hôtel. Mais avant de devenir un élément «stratégique» du Legoland Windsor, les heureux élus devront passer par la case formation. Une formation qui sera axée sur les connaissances de l’univers Lego, la manière de présenter et parler de la marque et aussi sur les conseils pour savoir communiquer clairement et poliment aux autres enfants, qui eux sont les clients. Pas facile pour un petit bout de choux de discerner l’enfant du client…

 Pour cette surprenante offre d’emploi, les enfants ne seront pas rémunérés en monnaies sonnantes et trébuchantes mais en centaines de petites briques, un séjour dans ce même hôtel avec Papa et Maman et des entrées au parc à thèmes. Les 12 candidats, 6 garçons et 6 filles, débuteront leur office dès l’ouverture de l’hôtel en mars 2012. Les enfants seront accompagnés -c’est la moindre des choses- d’un membre de leur famille pendant toute la durée de leur séjour.

 Pour Lego, la présence de ces concierges d’un nouveau genre est avant tout une récompense, puisqu’au final ils sont considérés comme les gagnants d’un jeu… Le gros lot pour les 12 vainqueurs est tout de même un peu étrange… Du moins, vu des yeux d’un adulte. Qu’en pensent nos têtes blondes et brunes? La marque est-elle allée trop loin? Un vrai sujet de fond à débattre?

 Raphaël Legrand

Source: Timeshare Informer

-En Images...

Chorale "Chanter en signes "au CafézoïdePrès de 7 ans, que je fréquente cette petite association se situant sur le quai de la Loire Paris XIXème...Cafézoïde est une alternative à la rue et au fast-food et se veut un espace de liberté pour l’enfant et l’adolescent. En cela, il s'inspire d'expériences éducatives différentes comme celles de Maria Montessori, Françoise Dolto ou celle de l'école Vitruve où sont mis en valeur la citoyenneté et l'autonomie de l'enfant (liens plus bas).

Hier...dimanche 29 Janvier petite animation « chanter en signe »Chorale chanter en signes

Nous nous sommes inités à la langue des signes, et ainsi avons pu chanter en signes. Pour la tribu et moi-même, l'espace d'un après-midi, cela à permis de leur faire découvrir ce mode de communication. (bon après, j'ai une collègue sourde...donc je signe un peu avec elle, et j'ai appris la lecture labiale...du moins j'essaye)

- CafézoÏde...Késako...

Le Cafézoïde est ouvert à tous. C’est un café sans alcool et sans cigarette.

Le bar , en bas ©JM Armani

A la deuxième visite, il faut donner une cotisation de

2,50 € par enfant et par an pour continuer à profiter des lieux. L’enfant devient alors adhérent.

Il est sous la responsabilité de ses parents ou d’un adulte référent.


La Paf (participation aux frais) est ensuite de 1,50 € et donne droit à une consommation boisson ou grignotage. ( la paf est de 1 € pour les familles nombreuses).

En arrivant, on doit prendre au bar au moins 1 Paf (qui est un petit ticket) et la garder avec soi tout le long de la visite. Elle permet à l’équipezoïde de pouvoir gérer le flux des enfantzoïdes et des adozoïdes

Une participation non monétaire est possible. On devient alors mamanzoïde ou papazoïde c'est à dire un membre actif du café et on propose d'organiser, mener, superviser une activité.

Dans ce bar un peu particulier, les jus de goyave et de réglisse ont remplacé la bière. Une grande mosaïque colorée a pris la place du zinc, sur le comptoir. Et les habituels tabourets ont cédé leur place à de petites chaises et de petites tables.

Ce café pour enfants et adolescents propose toutes sortes d’activités : de la peinture au hip-hop en passant par des cours de djembe… et même un café philo ! Le tout dans une ambiance tout en couleurs flashy.
Mais les parents ne sont pas exclus ! Le Cafézoïde est avant tout un lieu de partage et d’échange entre les générations et les cultures : les parents sont invités à participer, voire animer les ateliers. Petits et grands de tous horizons se mêlent dans la bonne humeur pour apprendre ensemble. Un café chaleureux, convivial, et des tout petits prix.

- Où que c'est???? :

92 bis quai de la Loire
75019 Paris

Accès
Bus : 60
Métro : Ligne 5 - Laumière

cafezoide@aol.com
http://www.cafezoide.asso.fr
+ 33 (0) 1 42 38 26 37

Ouvert du mercredi au dimanche de  10:00 à 19:00

Je lisais un article paru dans "lien social" faisant allusion au devenir des familles monoparentales ( précarité financière et sociale et/ ou recomposition pour d'autres)
Là,je m'interreserais à la recomposition, à l'époque où l'on ne se marie plus pour le meilleur et pour le pire, mais surtout pour le meilleur. Sommes nous rentré dans une forme de banalisation de la séparation : aujourd'hui, un enfant sur trois voit ses parents se séparer. Des personnes de plus en plus jeunes reviennent sur le "marché du couple" après une première union ( adopte un mec,solofamily, meetic,.. Se frottent les mains).
on relève une augmentation de 11 % du nombre de familles recomposées.

Nous avons un énorme atout du fait que ses enfants et ma fille se sont immédiatement plu et qu'ils s'entendent très bien ( quelques éclats de voix mais rien de bien méchant, il faut bien un peu de jalousie pour pimenter notre quotidien...) Lorsque nous avons commencé à passer des week-ends ensemble, ma fille était toujours triste lorsqu'il fallait les quitter le dimanche soir. Je pense que nous sommes privilégiés à ce niveau, car un certain nombre de familles recomposées rencontrent de gros problèmes de rivalités et jalousies. Quant à ses enfants au début, je pense qu'ils n'ont pu prendre le temps de parler leurs maux...la nouvelle maison et nouvelle vie est arrivée peu de temps après l'annonce de la séparation de leurs parents.
J'étais donc juste, en quelque sorte, l'amoureuse à papa, celle avec qui il passe des heures et des heures au telephone, celle qui fait sourire papa, ce meme papa qui a bien peur que ses enfants souffrent de cette separation ( c'est peut-etre ca qui m'a seduit chez lui, l'amour et l'attention qu'il a pour ses loupiots)
Mais j'avais l'avantage d'être moi-même une maman, ce qui me donnait une certaine crédibilité. De manière générale, j'aime profondément les enfants, ce qu'ils sentent très facilement. J'ai un style de vie et des priorités qui ne sont pas les mêmes que ceux de leur maman ; par exemple, je suis pour la discussion ouverte,pas peur d'aller à l'affront pour parler ce qui fait mal.  Ca été dififficile pour canard au départ, pas habitué à avoir une personne qui discute tout ouvertement, mais il me soutient sur ces choix, la parole est ainsi plus libre, et la plus jeune peut ainsi s'autonomiser davantage.

Je pense qu'aujourd'hui, après neuf mois de cohabitation, j'ai fait mes preuves, mais je sais très bien que je n'aurai jamais la place et l'importance de leur maman dans leur vie. C'est très bien comme ça.
je pense contribuer à améliorer le respect qu'ils ont pour leur parents.
Au moment de la décision d'emménager ensemble, j'ai souhaité rencontrer indirectement la maman des enfants pour discuter plus officiellement de la part que j'allais prendre dans la vie de ses enfants, de ses craintes, etc. Je pense qu'elle a apprécié ce geste.

Avec canard, il y a eu quelques incidents mineurs de différences d'opinion, mais fort heureusement c'est une personne intelligente et je pense que le système fonctionne.

Pour vivre tous en harmonie, il n'y a pas de recette miracle mais il faut user de bon sens et d'un minimum de sensibilité aux besoins de chacun, et une bonne dose d'humour. Je pense qu'il faut prendre le temps de dire à son enfant : "J'aime cette personne avec qui je choisis de vivre. Il y aura certainement des moments difficiles pour toi, ça n'est pas forcément ce que tu souhaiterais, mais c'est mon choix de parent". J'applique quelques principes de base : par exemple, parler des choses qui dérangent directement aux enfants, sans passer par leur père et le mettre au milieu d'un triangle inconfortable. Lorsque j'ai une remarque à faire à l'un de mes beaux-fils, ou a pa belle-fille ( j'aime pas piougff), je m'adresse directement à eux, sans passer par leur père. J'use autant que possible de l'humour et c'est une méthode qui passe très bien entre nous. J'aime beaucoup rire et les enfants le savent, parfois c'est à celui qui fera la plaisanterie la plus drôle, nous rions beaucoup tous ensemble, et c'est un grand plaisir.

Il est important également de laisser la possibilité au papa d'avoir des moments seuls avec ses enfants (week-ends, petites vacances), et de se garder du temps seul avec ses enfants.

Etre belle-mère, c'est pas mal de frustrations mais de grandes joies aussi : Les filles ( la mienne et la sienne), nous ont demandé : "Quand vous vous marierez, on pourra être les démuselles d'honneur qui tiennent le voile?". Pour le cross de l'ecole  (ses fils et ma fille), j'ai couru avec les trois classes, et la c'est la fierté pour moi et même pour eux... Ce qui m'a valu quelques larmes d'émotion (oui, je le suis) et quelques grammes en moins....dans les mollets pioufff.

Comme le dit canard, ce petit espace me permet de me "défouler", mais je sais que ça lui évite surtout de devoir m'écouter chercher à comprendre le pourquoi du comment, et de répondre à mes interrogations...pas de ma faute, les questions viennent à moi!!!

Bon, nous disions... Vie intime et enfants :
" Les enfants sont faits pour partir, le couple est fait pour durer"

Ce qui est assez marrant, c'est la pensée des personnes qui t'entourent, lorsque tu leur dis je m'appelle bidule, j'ai 31 ans et 4 enfants... Il te voit en premier lieu comme une lapine pondeuse et surtout comme une mère de famille, Caroline Ingalls... Ça fait un peu mal, alors tu reprecises, non sur les 4, seule une est mienne, les autres sont un prêt.

Malheureux, mais ça freine pas mal ton quotidien de te retrouver à la tête d'une telle tribu, car tu te dis adieu câlin sous la couette à pas d'heure, les enfants n'ont pas tous le même rythme, entre les terreurs nocturnes, les réveils au aurore et le grand à accompagner au foot le samedi matin.
Certaines semaines de grand "rush", tu te retrouves même à cocher sur ton calendrier rose, la date du feu d'artifice " silencieux", car ce dernier doit tomber dans un moment de disponibilité physique et psychique (horaires décalés, vieillerie du matériel et compagnie)

Blague à part, j'ai souvenir que dans ma période maman solo, je rêvais d'avoir un zhom dans mon lit, prêt à me faire un massage à tout moment de la journée, disponible pour des galipettes et répondre à mes questions existentielles qui me rendent insomniaque...bon là apparemment ça ne fonctionne pas, pourtant je crois qu'on s'est bien apprivoisés tous les deux.

J'aimerais juste qu'il ai l'oeil qui pétille en me voyant.
Entre nous, il l'a eu, j'ai d'abord pensé que cela s'expliquait par le fait qu'il a partagé la même couche que la maman des trois faons une dizaine d'année ( méchante bibiche, bon j'ose pas lui poser la question, il va encore me prendre pour une folle...alors je me la pose devant le miroir!!!)

En attendant, j'ai pas la réponse à ma question...

Une semaine chez maman, une semaine chez papa...et la belle-mère ( beh oui faut pas l'oublier elle: moi!!)
Reconnu par la loi en 2002, ce mode de garde fait pourtant débat chez les psys ( parole d'educ aussi)

Le gros oeuvre avec les enfants de divorcés, séparés, enfin vous m'avez comprise, est de maintenir le lien entre les enfants et les parents séparés ( et là voilà l'affaire quand les parents n'arrivent plus à se regarder...petit clin d'oeil à ma petite maman)
Moi je dis que c'est bien facile pour le parent ( moins radical et mesquin que la garde exclusive que j'ai pour ma puce!!! Je le reconnais), revenons à cette garde alternée, et là je rejoins Marcel Rufo, plutôt contre.
Je ne vois pas qui peut se trouver bien de vivre une semaine ici et une semaine ailleurs ; c’est demander aux enfants un effort d’adaptation excessif. Mais je n’exclus pas que certains puissent y trouver leur compte...mais l'enfant dans ça, il a rien demandé....!!! Mais dans notre cas, on verra à l'adolescence des faons.

Après,la contrainte qui n'est pas moindre, habiter à proximité l'un de l'autre...apprécier l'ex-femme et inversement...et surtout pas de jalousie ça aide...

Pour que cela soit validable et viable, il faut que les enfants puissent poursuivre normalement leur scolarité, les activités extra scolaires qu'ils soient chez l'un ou l'autre des parents.
Ce qui implique que les domiciles soient suffisamment proches.

Le mot d'ordre, la bonne entente, la résidence alternée permet à l'enfant de conserver ses deux parents à égalité. Il n'y a pas un parent principal, celui de la semaine qui punit et puis un parent occasionnel, celui des weeks-ends et des loisirs.
Ainsi, l'enfant ne se sent pas rejeté par l'un ou l'autre de ses parents, au contraire, il est attendu, accueilli, il se sent désiré et le maintien de cet équilibre fait qu'il n'a pas l'impression d'avoir perdu l'un de ses parents.
La place du père est importante pour l'enfant mais celle de la mère est essenielle pour son bien-etre,son équilibre.

le hic, au nom de quoi pouvons nous dire qu'il soit dans son intérêt de lui voler son enfance en l'incluant dans des organisations et des emploi du temps de ministre.
Je pense que la seule chose que demande un enfant est d'être paisible et non d'être la cible d'une perversité qui consiste trop souvent à satisfaire les désirs d'un parent.

Et là, je dirais ouverture du débat autour de la garde exclusive...Est la solution trouvée par certains parents, rappelons qu'en matière de garde des enfants au moment de la rupture, les parents restent égaux selon la loi. Un parent n’a donc pas plus le droit que l’autre d’avoir la garde des enfants.

(suite au prochaine épisode.../...)

En voiture Simone!, marre de ces dimanches canapé, jeux vidéos, blablatages et disputes à celui qui sera le plus proche de son papounet chéri ou encore de beau-papa... et et attention de la belle pas moche (moi).

J'affute donc mes doigts de fée et mon cerveau, à la recherche d'une petite sortie ludique et pas technique, intéressante et pas chiante...mais comme, je suis une belle-maman pleine de ressources.
Ça sera " Théâtre Popul'air Reinitas - Lamine Kouyate", ou comment passer un message aux enfants autour de la question de respect à ce qui l'entoure (faune, flore, êtres humains, animaux)
Conte participatif, l'enfant est invité à intervenir et chanter

La belle-bibiche a aimé cette sortie non-conso...

Beh oui parlons belle-mère, 31 ans que je suis sur cette terre qui m'aurait dis un jour que j'allais devenir "belle doche"...Personne!!
Il n'existe d'ailleurs pas beaucoup de contes qui flattent ce genre de statut, si je puis dire... À l'exception de "Cendrillon".

Bon, allons à la définition, quand une mère ou un père divorcé rencontre à nouveau l'amour, c'est un nouvel équilibre à trouver au sein de la famille recomposée.

Réussir à créer une relation de qualité avec l'enfant sans empiéter sur le rôle du parent absent : un juste équilibre à trouver...On ne choisit pas sa famille, dit-on, mais on choisit peut-être encore moins sa famille recomposée.

Si elle a fait les beaux jours des séries télévisées, version idyllique, la vie de ces nouvelles tribus n’est pas aussi rose qu’on voudrait le croire. Jalousies à arbitrer, difficultés à trouver sa place, interrogations sur l’autorité, sont autant de défis à relever au quotidien.

L'enfant a besoin de temps pour accepter de créer un lien avec un adulte ( marrant j'ai eu l'impression me concernant que cela a été plus difficile pour la petite)
S’il n’a pas à décider de la vie privée de ses parents, il est concerné par les changements familiaux. Et ses sentiments (appréhension, rejet) doivent être écoutés.
La rencontre avec ma petite personne n'a pas été le fruit d’un "hasard arrangé", surtout qu'il y avait ma fille à présenter à ses nouveaux demi-frère et sœur.
Le choix s'est porté sur un après-midi...petit sortie au vert avec toboggan, gazon et tout le truc qui apporte un brin de loisirs à des enfants de leu âge.

Et voilà...les présentations sont faites...et très vite nous avons parlés vie commune.

Un des premiers matin où je partageais leur petit déjeuner, la plus petite, 4 ans, la tête fourée dans son bol, ne me décrocha aucuns mots, leur papa et moi étant dans les vapeurs de notre amour passionelle, n'avons pas réellement pris le temps de leur laisser une période d'essai...Non, je suis arrivée avec mes gros cartons, ma fille à bouclettes, le genre de petite fille toute mimi à croquer (je ne dis pas cela, parqu'il s'agit de ma fille, non,non), mais qui n'a pas sa langue dans sa poche...

Bref, cette petite fille, a passé le repas à observer, son papa, à lui demander, de lui porter de l'attention.

Qu'avait -elle donc dans sa petite tête d'enfant venant de vivre une séparation, et présentée à la copine de papa?

Remarque, ce qui a marché, car, elle est et je l'ai su dès le premier regard, la petite fille à son papa (pas toujours top ça d'ailleurs) 

Comme la mistinguette s'est tartiné la bouche de cette fameuse pâte à tartiner, je me suis proposé de l'aider à faire disparaitre ses "traces de lutte matinale"

 Et, relevant sa petite tête chatain, elle me lance : "Ben, elles sont petites tes gougoutes ?" 

Maman d'une petite fille de six ans, j'ai d'abord été maman solo, avant de devenir, belle-maman de trois charmants bambins.

Aujourd'hui, quelques mois ont passés, qui n'ont été de tout repos (ai-je besoin de le préciser?), durant lesquels ce statut de belle-maman m'a fortement interrogée.

Alors, je crée cet espace, pour pouvoir en parler, et faire en quelque sorte un débriefing...de partager mon quotidien de belle-maman à temps partiel et de maman à temps plein, de partager mes doutes, mes galères, mes peurs, et aussi mes joies, mon optimisme (mis à rude épreuve), mes trucs et astuces pour devenir une belle-mère géniale (je n'y suis pas encore, du tout du tout), pour nous, vous, qui déjà galérez à mort pour trouver votre place. Mener tout de front... Et surtout, pour ne pas baisser les bras et ne pas se sentir seules !

Puis, il  ne faut pas oublier surtout...je suis une femme, bon petite trentaine, mais une femme, pas celle des magazines, aux gougoutes qui tombent, mais qui essaye de se sentir bien dans sa peau et se sentir belle...

J'ai un chéri (surnommer Canard), des amis, avec qui de temps en temps quand les occasions nous le permettent, je m'autorise des extras liquides, et quelques déhanchés qui me rappellent d'ailleurs que je n'ai plus 20 ans, une famille même si quelques accrocs font que ma météo locale peut se couvrir subitement.

Sur cette introduction...je dirais bienvenue à tous...Et puis, les belles-mamans ne sont pas toutes des vilaines marâtres.